• Conseil du jour: pour être de bonne humeur,attendre au moins d'avoir digéré ses corn flakes avant de lire le journal. Au menu, pas trés varié et peu digeste: attentats, meutre et viol...



    Baise-moi
    Baise-moi à ta manière
    Toi le cochon, moi la poupée
    Baise-moi, fais pas semblant que tu me respectes
    En me disant de te le dire si ça fait mal
    Baise-moi
    Plus vite tu auras commencé
    Plus vite tu auras fini
    Baise-moi, j'en ai rien à foutre de ce que t'as fait de ta journée
    Je sais que tu en as envie
    Alors vas-y, baise-moi
    Et quand ta respiration s'accélèrera
    Pour devenir saccadée
    Il en sera de même pour moi
    Pas par plaisir
    Pas par désir
    Mais pour chasser le haut-le-coeur
    Qui ne tardera pas à me submerger
    Quand tu gémiras
    Ton corps ruisselant et odorant sur le mien
    Je ne pourrai me retenir de t'imiter
    Comme une enfant gâtée qui commence à chigner parce qu'elle s'ennuie
    Quand je fermerai les yeux
    Ton plaisir à son apogée
    Ce sera par souhait que, quand je les rouvrirai
    Tu ne seras plus là
    Baise-moi, baise-moi
    Ta semance qui me souille
    Je te la cracherai un jour à la figure
    Baise-moi, baise-moi ton hésitation me fais peur
    Que peux-tu bien mijoter encore
    Fellation ? Fouet ? J'ai déjà tout enduré
    Baise-moi, baise-moi bientôt je savourerai ma victoire
    Au tribunal
    Baise-moi, baise-moi défonce-moi à m'en faire saigner
    Si je pouvais en mourir ...
    Baise-moi, baise-moi afin que la vérité éclate
    Aux yeux du monde entier
    Baise-moi, baise-moi
    Baise-moi ... PAPA




    merci à xstrange:http://xstrange.skyblog.com/



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  • Qui peut prétendre se connaître ? c'est depuis que je tente de remplir la rubrique « moi » de ce blog que la question me hante. Non pas la métaphysique du questionnement de soi dont les tenants et aboutissements n'ont pas leurs places en ces pages mais la simple et ingénue aptitude à pouvoir dire qui est ce « moi ».

    Il peut paraître orgueilleux, obsessionnelle et mégalo de se refuser à coucher trois adjectifs décrivant cette petite personne que je suis. Ce n'est pas la synthèse de ce moi qui m'est difficile mais sa compréhension.

    Si je suis incapable de réaliser cet exercice c'est parce qu'il m'arrive parfois de me demander si Elle ne me connaît pas mieux que moi même. C'est plaisant et troublant de croire qu'Elle peut percer mes envies, mes désirs et mes besoins avant même de les ressentir. D'un autre coté il m'arrive parfois de croire qu'on ne me voit que comme j'ai envie qu'on me voit, comme le simple reflet d'un être dans le regard de l'autre.

    Une ancienne amie prétendait connaître les hommes après les avoir fait jouir. Elle devait certainement faire référence au seul moment ou l'homme est naturel puisque abandonné de ses instincts primaires gonflés à la testostérone. Je ne suis pas persuadé de ça, désolé docteur Freud. En tout cas je me refuse de le croire, peut-être par peur de devoir inscrire dans la case « moi » de ce blog : « fume une cigarette », « ne se laisse plus caresser », « ne la regarde plus dans les yeux », « invente une excuse pour ne pas dormir ici »...

    Un tour d'horizon de vos blogs, comme pour prendre le meilleur de vous pour en faire un moi m'as permis de comprendre que les plus belles personnalités sont multiples. Des multitudes de « moi » dans un seul, des nous dans un moi. Certains l'ont compris, d'autres non, moi je cherche mon moi.






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  • Toi qui me l'a enlevé, j'aimerais pouvoir te nommer pour pouvoir te maudire.
    Helios, aide moi comme tu as aidé Demeter que je puisse me venger.
    Ne l'appelle pas hasard, ni même destin je ne te croirai pas !
    Je vais errer, 100 ans s'il le faut et la retrouver. Elle et notre amour!

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  • 8 h : debout...douche...jus d'orange...brioche (ou l'inverse) et c'est parti...Non pas encore je la regarde une dernière fois, demain elle part...je t'aime...tristesse
    9h. bureau puis café avec G. Heureusement qu'il est là lui...amitié
    9h05 : - un homme de ménage : « monsieur, votre tirette ! »gentillesse
    - moi : hein quoi ? pas un regard ni un merci... ingratitude et égoïsme
    9h15 : tout le monde ricane derrière mon dos...c'est le milieu qui veut ça
    9h16 : effectivement j'ai la braguette ouverte et la chemise qui en ressort...j'ai compris...braguette = tirette...trop tard...je le cherche...il est parti...
    9h.20 : tour d'horizon webistique...mails...pas de messages intéressants, blog...pas de commentaires...des stats affligeantes......peu importe le plaisir n'est pas là...l'intérêt non plus...et puis c'est moins cher qu'un psy.
    Sélène...c'est tout simplement beau...Ange...comment lui dire...une prochaine fois peut-être...
    9h30 : courrier...billet d'avion...Danemark...excitation...c'est pour le boulot...déception.
    9h35 : Madame T. arrive....beauté, élégance, intelligence...attirance.
    10h : entrée dans l'aréne...elle est là...je m'en fou...enfin non...enfin bref.
    12h : sortie de l'aréne...épuisé
    12h30 : sandwich...?
    13h : « vous êtes sardonique »...dico...« rictus convulsif dû à la contracture spasmodique des muscles de la face »...ah bon
    13h05 : boulot
    15h15 : pause...envie de légèreté...un post...ma journée
    15h30 : Finalement, dans le genre « léger » j'excelle.
    15h31 : une morale...non !...en voilà une .


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  • Nous descendons et ne descendons pas le même fleuve,
    nous sommes et ne sommes pas.
    Le froid devient chaud, le chaud froid, l'humide devient sec et le sec humide.[...]
    Les immortels sont mortels et les mortels immortels : ils échangent mutuellement la vie et la mort.
    Il faut savoir que la guerre est universelle, que la justice est une lutte et que tout arrive à l'existence par la discorde et la nécessité.[...] Les contraires se mettent d'accord, des sons variés résulte la plus belle harmonie et tout est engendré par la lutte.
    De la Multiplicité des choses provient l'Un et de l'Un la Multiplicité.
    Dans la périphérie du cercle, le commencement et la fin coïncident[...]C'est un même chemin qui mène en haut et qui mène en bas.
    Le monde n'est un et commun que pour ceux qui sont éveillées mais pendant le sommeil chacun possède un monde à part.

    HERAKLITE


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