• Toi qui me l'a enlevé, j'aimerais pouvoir te nommer pour pouvoir te maudire.
    Helios, aide moi comme tu as aidé Demeter que je puisse me venger.
    Ne l'appelle pas hasard, ni même destin je ne te croirai pas !
    Je vais errer, 100 ans s'il le faut et la retrouver. Elle et notre amour!

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  • 8 h : debout...douche...jus d'orange...brioche (ou l'inverse) et c'est parti...Non pas encore je la regarde une dernière fois, demain elle part...je t'aime...tristesse
    9h. bureau puis café avec G. Heureusement qu'il est là lui...amitié
    9h05 : - un homme de ménage : « monsieur, votre tirette ! »gentillesse
    - moi : hein quoi ? pas un regard ni un merci... ingratitude et égoïsme
    9h15 : tout le monde ricane derrière mon dos...c'est le milieu qui veut ça
    9h16 : effectivement j'ai la braguette ouverte et la chemise qui en ressort...j'ai compris...braguette = tirette...trop tard...je le cherche...il est parti...
    9h.20 : tour d'horizon webistique...mails...pas de messages intéressants, blog...pas de commentaires...des stats affligeantes......peu importe le plaisir n'est pas là...l'intérêt non plus...et puis c'est moins cher qu'un psy.
    Sélène...c'est tout simplement beau...Ange...comment lui dire...une prochaine fois peut-être...
    9h30 : courrier...billet d'avion...Danemark...excitation...c'est pour le boulot...déception.
    9h35 : Madame T. arrive....beauté, élégance, intelligence...attirance.
    10h : entrée dans l'aréne...elle est là...je m'en fou...enfin non...enfin bref.
    12h : sortie de l'aréne...épuisé
    12h30 : sandwich...?
    13h : « vous êtes sardonique »...dico...« rictus convulsif dû à la contracture spasmodique des muscles de la face »...ah bon
    13h05 : boulot
    15h15 : pause...envie de légèreté...un post...ma journée
    15h30 : Finalement, dans le genre « léger » j'excelle.
    15h31 : une morale...non !...en voilà une .


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  • Nous descendons et ne descendons pas le même fleuve,
    nous sommes et ne sommes pas.
    Le froid devient chaud, le chaud froid, l'humide devient sec et le sec humide.[...]
    Les immortels sont mortels et les mortels immortels : ils échangent mutuellement la vie et la mort.
    Il faut savoir que la guerre est universelle, que la justice est une lutte et que tout arrive à l'existence par la discorde et la nécessité.[...] Les contraires se mettent d'accord, des sons variés résulte la plus belle harmonie et tout est engendré par la lutte.
    De la Multiplicité des choses provient l'Un et de l'Un la Multiplicité.
    Dans la périphérie du cercle, le commencement et la fin coïncident[...]C'est un même chemin qui mène en haut et qui mène en bas.
    Le monde n'est un et commun que pour ceux qui sont éveillées mais pendant le sommeil chacun possède un monde à part.

    HERAKLITE


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  • Ah...si vous saviez comme elle est belle...
    Je passe des heures face à vous mais ne vous méprenez pas, je ne vois qu'elle. Comme vous devenez transparents quand elle est là. Dormez, dansez, riez ou même sortez, peu importe mon ange est là.
    Comment fait-elle pour éclairer cet amphi si lugubre d'ordinaire.
    J'ai l'autorité et le pouvoir sur elle mais elle me possède.
    Je sais que je lui plais, moi ou ma fonction...peu importe...c'est impossible...fantasme et frustration.

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  • Moi qui n'aime pas la virtualité, moi qui n'aime pas l'informatique, moi qui n'aime pas les SMS ou les chats', moi qui n'aime que les rapports directs, humains et passionnés, pourquoi suis-je tout à coup attiré par une envie irrésistible d'écrire sur ce blog ?

    L'écriture...je ne vous parle pas de l'art d'écrire, ni même de poésie ou de prose mais simplement la volonté de faire partager une idée, un sentiment ou même qu'une humeur la plus profonde.

    Et pourtant, moi qui suis si « brillant » en société, à l'aise, sociable et pertinent, voilà un domaine ou je suis loin d'exceller. Pourquoi suis-je si méfiant sur ce blog pourtant tellement impersonnel.

    Paradoxe insoluble d'un être qui ne se cache que face à lui même.

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